Photos du Voyage Surprise à St Sulpice sur Risle
Programme
08h30 : Rendez-vous sur le parking de la salle Jean De La Fontaine
08h40 : Départ direction L’AIGLE
10h00 : Visite guidée de la manufacture BOHIN de St Sulpice Sur Risle
Découvrir les secrets de fabrication des aiguilles et des épingles en partant d’un fil d’acier, l’empointement, le perçage des chas, le polissage, le limage des joues.
Le parcours sera complété par un espace muséographique et une boutique.
13h00 : Déjeuner au restaurant « le Grill » à Verneuil Sur Avre
15h00 : Visite guidée du musée de la Grosse Forge à Aube
La visite de cet ancien établissement métallurgique datant de François 1er (en 1504) vous plongera dans l’univers de l’art du fer et du feu. Le grand bâtiment abrite aujourd’hui encore le gros marteau.
16h00 : Visite guidée du musée de la Comtesse de Ségur à Aube
Vous y découvrirez la peinture réaliste de la société du 19ème siècle dont elle trouvera l’inspiration chez les paysans et les personnalités locales.
17h15 : Départ et retour à Marolles Les Braults
Manufacture BOHIN
Les ateliers de production de l’usine BOHIN France, dernier fabricant français d’aiguilles et d’épingles.
Une de particularités de l’usine repose sur l’utilisation de machines anciennes, certaines datant de la fin du 19ème siècle. Leur fonctionnement et leur entretien reposent sur l’expérience des salariés BOHIN dédiés aux différentes étapes de production
La machine est un appui mécanique à la fabrication des aiguilles à coudre, mais ne pourra jamais remplacer le discernement et « le coup de main » des employés
On découvre les secrets de fabrication des aiguilles et des épingles en partant d’un fil d’acier, l’empointement, le perçage des chas, le polissage, le limage des joues. 27 étapes et 2 mois de production sont nécessaires avant de retrouver l’aiguille à coudre en magasin
Visite d'un grand musée contemporain aux thématiques variés : Histoire industrielle de la région, histoire de la famille BOHIN, archives publicitaires, documents techniques, produits anciens
La Comtesse de Ségur
Sophie Rostopchine, née en 1799 à Saint-Pétersbourg, est la fille d'un général issu de la noblesse russe. Forcé à l'exil en 1814, il fait venir sa famille en France en 1817. La jeune Sophie épousera le comte de Ségur deux ans plus tard. Mère de huit enfants, peu à l'aise dans les mondanités, la comtesse de Ségur se retire dans sa propriété de Nouettes dans l'Orne pour se consacrer à ses enfants et petits-enfants. La comtesse de Ségur montre qu’une vocation très tardive peut être particulièrement réussie : elle a en effet écrit son premier livre à plus de cinquante ans. Il s'agit de contes moraux, destinés à ses petits-enfants. En 1866, elle devient tertiaire franciscaine, sous le nom de sœur Marie-Françoise, mais continue à écrire. Elle meurt, à soixante-quatorze ans, entourée de ses enfants et petits-enfants. Elle est inhumée à Pluneret (Morbihan), près de son fils Gaston.
Quelques romans de la comtesse de Ségur sont : Diloy le chemineau, Les Malheurs de Sophie, Un Bon petit diable, Jean qui grogne et Jean qui rit, Ourson, L’Auberge de l’Ange gardien, Le Général Dourakine, Les Petites Filles modèles, Les Vacances, Les Mémoires d'un âne, On ne prend pas les mouches avec du vinaigre…